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Fear, anger, sadness, joy, disgust, jealousy, shame. Adas Miauczynski returns to his childhood, when - like most of us - he had a big problem with naming the accompanying emotions. To improve the quality of his adult life, he decides to return to that not-as it turns out-carefree period to learn to experience the seven basic feelings. This extremely unpredictable journey to the past abounds in a series of hilarious, even comic situations, but it also carries the power of emotion and reflection.

Metin a perdu la femme qu’il aimait. Il est perdu dans une profonde solitude. Portant le deuil de ce qu’il a perdu, il vivote en chantant dans un bar. A un moment tout à fait inattendu, Gizem entre dans sa vie et lui dit qu’il faut être quelqu’un, du moins pour une personne. Est-ce que ces deux âmes dont la solitude aussi bien que la douleur se ressemblent réussiront à se guérir l’une l’autre?

Au début du XIXème siècle, dans l'Etat du Tennesse, la famille Bell est hantée par un esprit particulièrement violent, qui finit par tuer l'un d'entre eux. C'est la seule fois de toute l'Histoire des Etats-Unis qu'un fantôme assassina quelqu'un. Ce récit est basé sur des faits réels et s'inspire directement du livre de Brent Monahan.

Theodore "Theo" Decker n'a que 13 ans quand sa mère est tuée dans une explosion au Metropolitan Museum of Art. Cette tragédie va bouleverser sa vie : passant de la détresse à la culpabilité, il se reconstruit peu à peu et découvre même l'amour. Tout au long de son périple vers l'âge adulte, il conserve précieusement une relique de ce jour funeste qui lui permet de ne pas perdre espoir : un tableau d'un minuscule oiseau enchaîné à son perchoir. Le Chardonneret.